03 octobre 2020
IMAGINAIRE(S) [53]
"Pour ma part, ça va bien merci… Mais vous n’allez tout de même pas me faire croire, mille sabords, que nous sommes en route vers la Lune ?"
[Hergé, On a marché sur la Lune, 1954]
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02 octobre 2020
IMAGINAIRE(S) [52]
"Enfin, je sais ! Je me souviens ! Un météore a traversé ma mémoire !"
[Jean-Claude Forest et Paul Gillon, Labyrinthes, 1976]
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01 octobre 2020
IMAGINAIRE(S) [51]
"Je ne distingue plus le rêve de la réalité"
[Hugo Pratt, Mû, 1988]
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30 septembre 2020
IMAGINAIRE(S) [50]
"Fin des Fins"
[Pierre Christin et Jean-Claude Mézières, L’Ouvretemps, 2010]
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29 septembre 2020
IMAGINAIRE(S) [49]
"Il avait méjugé de la nature. Car le centimètre, comme le pouce, était un concept propre à l’homme, pas à la nature. Pour l’homme, zéro centimètre équivalait à rien. Zéro égalait rien, le néant.
Mais pour la nature, il n’y avait pas de zéro. L’existence se poursuivait en cycles infinis. Cela semblait tellement simple à présent. Il ne disparaîtrait jamais parce qu’il n’existait aucun point de non-existence dans l’univers."
[Richard Matheson, L’homme qui rétrécit, 1956]
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28 septembre 2020
IMAGINAIRE(S) [48]
"Cela n’a rien de miraculeux, mais c’est complexe. La téléportation est simple une fois que l’on a appris son langage. C’est le langage qui est difficile."
[Robert Heinlein, En terre étrangère, 1961]
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27 septembre 2020
IMAGINAIRE(S) [47]
"L’espace d’un instant, tout perdit son sens : sa mission, les efforts de l’humanité pour survivre dans ce monde nouveau et même la vie dans toutes ses manifestations. Elle ne portait rien en son sein, rien qu’un tunnel obscur d’une longueur différente pour chacun, dans lequel on devait marcher à l’aveugle de la station «Naissance» à la station «Trépas». Ceux qui cherchaient la foi en cherchaient en vérité des embranchements latéraux. Mais, des stations, il y en avait que deux et le tunnel n’existait que pour les relier l’une à l’autre, ce qui interdisait l’existence même d’une bifurcation."
[Dmitry Glukhovsky, Métro 2033, 2002]
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26 septembre 2020
IMAGINAIRE(S) [46]
"Eh alors ? Moi, je dis qu’il faut foncer dans le tas ! Y aller franc. Rien à perdre ! Je m’en carre de leurs tacticouilles ! C’est maintenant ou jamais les gars ! Jamais on n’aura plus une chance commac −allez faire un tour dans la raze, allez voir ce qui s’y dit : tout le monde est derrière nous, à attendre qu’on lance la grande offensive, qu’on torpille le cube gouvernemental. Là, on discute encore, on réfléchit. Mais à quoi ? Pourquoi ? Réfléchir, c’est fléchir deux fois ! Qu’est-ce qu’on attend, bordel ? Vous serrez vos demi-lunes devant la costume, c’est ça ? Hein ? Moi, la costume, je les attends −coup de boule, coup de couteau, boum ! Schlaa ! A dégager ! Qui me suit ?"
[Alain Damasio, La zone du dehors, 2007]
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